Accompagné d’un cahier d’images offset,100 exemplaires, signés et numérotés
ASYLON, du peintre Michael Rampa, qu’accompagne odographie molle et intimité sous tension, texte de Christian Girard, est affaire de marche, de routes, de tracés. Les dessins de l’un, qui confesse être hanté par Gilles Deleuze et Walt Disney, alors que l’autre rappelle, en citant Roland Barthes, que « marcher est peut-être – mythologiquement – le geste le plus trivial, donc le plus humain », évoquent ces refuges sacrés, où règne un érotisme trouble, où s’opèrent d’inquiétantes métamorphoses…