Dans ce livre on croise des breaks Volvo, des chefs indiens, des kangourous, l’inventeur du velcro, une saucisse au chou, mais également Burt Lancaster en slip de bain, Paul Newman en professeur de géologie ou Konrad Lorenz parlant à ses oies. Tout ça avec de l’art qui entre par une porte et ressort par une autre en arrière-plan.
Fabienne Radi écrit (Ça prend, 2013, Cent titres sans Sans titre, 2014), fait des éditions d’artiste (livres, objets, posters), enseigne à la HEAD et rédige des chroniques pour le MAMCO. Elle vient de Fribourg et vit à Genève.
Cet ouvrage paraît avec le soutien de la République et Canton de Genève.
REVUE DE PRESSE
LIBÉRATION, 21/02/16
«Fabienne Radi, pas lassée d’essais», par Clémentine Gallot
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LE CLAVIER CANNIBALE, 11/01/2016
«Radi butine», par Claro
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SYLLABUS.CH, 09/12/2015
«Se pencher sur l’œuvre (naissante) de Fabienne Radi», par Maxime Pégatoquet
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