«Quand parfois, sortant de la maison enfin vide, nous découvrons des vêtements suspendus à des arbres, jetés depuis les fenêtres des chambres, des vêtements qui peut-être ont été donnés la veille, il vaut mieux se préserver et ne surtout pas chercher à comprendre pourquoi.»
Texte bref, tapé à la machine à écrire, copié sous la forme d’un carnet, accompagné d’une gravure intercalaire. Celle-ci et le tampon de couverture sont imprimés au genou sur le sol de l’atelier. Un pantalon troué pour une veste trouvée.